63 % des salariés veulent s’impliquer pour vaincre la crise…

Selon un sondage du cabinet Towers Watson, deux salariés sur trois en grande entreprise veulent s’impliquer davantage dans leur travail pour surmonter la crise.

Seul hic : la même enquête indique que, à 66%, ils ne savent pas en quoi leur service contribue au succès de leur société…

Et vous, qu’en pensez-vous ?
Comment montrez-vous à vos collaborateurs leur contribution au succès collectif ?
Comment l’entreprise leur offre de la reconnaissance ?

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Si les thèmes du management et de la motivation vous intéressent, téléchargez un ebook gratuit sur www.manager-motiver.com

Yves de Montbron anime Force 9, cabinet de conseil en management. Il livre ici les grands principes de la motivation d’une équipe.

Question : Comment définiriez-vous les grands axes de la motivation, aujourd’hui ?

Yves de Montbron : La motivation en entreprise s’appuie sur deux facteurs clés. Le premier, le facteur organisationnel, c’est une organisation motivante. Une ossature claire et connue rassure les collaborateurs. L’organisation hiérarchique , par exemple, doit être définie, les systèmes de promotion transparents, etc.

Le second point concerne le relationnel. Cela va se traduire par une certaine proximité entre collaborateurs et managers, des actions de communication (réunions, entretiens individuels, etc.), et surtout par une ambiance, qu’elle soit familiale, technologique, basée sur l’émulation ou autre chose. Il n’y a rien de pire qu’une entreprise sans ambiance dans laquelle les collaborateurs ne se sentent pas membres d’une même famille.

Evidemment, il faut constamment mêler organisationnel et relationnel.

Question : Quand on évoque la motivation, on pense tout de suite à la rémunération. Cet aspect est-il toujours aussi prédominant ?

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La finale de la Coupe du Monde de Rugby de 1995 fut perçue dans le monde entier comme un grand événement sportif. Pour l’Afrique du Sud, ce fut encore bien davantage : un tournant historique, un événement de portée nationale, qui refermerait les blessures du passé et ouvrirait de nouveaux espoirs.

Lorsque Mandela arrive au pouvoir, après 27 ans d’emprisonnement, l’Afrique du Sud est un pays meurtri, au bord de l’implosion. Pour réconcilier les ethnies, il ne suffit pas de proclamer la fin de l’apartheid. Le pays a besoin d’un symbole et d’un ferment d’unité nationale.

Pays hôte de la Coupe du Monde de Rugby, l’Afrique du Sud est automatiquement qualifiée pour la compétition. Mais les Springboks sont considérés comme une équipe mineure manquant d’expérience sur la scène internationale : à cause de l’apartheid, l’Afrique du Sud a été écartée des rencontres internationales durant des années. Personne ne croit les Springboks capables de remporter la victoire, et eux-mêmes n’y croient pas. Malgré cela, Mandela décide de miser sur une victoire des Springboks.

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Près de 80 % des dirigeants de petites structures considèrent que leur entreprise est touchée par la crise. C’est ce qui ressort d’une étude menée par le cabinet de recrutement Opteaman et le Medef, auprès de 1430 PDG et managers de PME.

Lorsqu’on leur demande s’ils ont modifié leurs comportements vis-à-vis de leurs salariés depuis le début de la crise, 51 % déclarent n’avoir rien changé.

Parmi les autres, une grande majorité déclare avoir adopté un management «constructif», encourageant les collaborateurs à se montrer plus créatifs et à jouer « plus collectif » (49 %).

D’autres, plus négatifs, ont alerté leurs collaborateurs sur un danger éventuel pour leurs conditions de travail, voire leur emploi (21 %). Sachant que la crise entraîne chez les collaborateurs du pessimisme (36 %), un manque d’entrain (25 %), le dénigrement de l’entreprise (14 %), opter pour un management négatif n’est peut-être pas la meilleure idée.

Comme ils le suggèrent eux-mêmes en répondant à la question : « En cas de crise aiguë, quelles seraient vos actions prioritaires ? », les managers doivent « veiller à la motivation de leurs collaborateurs et susciter leur implication » (31 %) et « communiquer en interne sur la vision de l’entreprise et le positionnement de ses dirigeants face à la crise » (30 %).

À méditer et à mettre en application dans votre propre entreprise…

Source : Action Commerciale

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Un exemple intéressant de management et de motivation des collaborateurs dans le groupe Auchan :

L’engagement et la motivation des salariés sont les fruits de la confiance et de la responsabilisation de la part du management. Le processus est véritablement gagnant-gagnant puisque tout le monde y trouve son compte : l’entreprise, les salariés et… les clients !

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Comment pouvez-vous appliquer un ou deux de ces principes dans votre entreprise, votre service ?
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