Féliciter pour motiver   15 janvier 2010

Félicitez-vous vos collaborateurs ?
Généralement, vous pensez que vous le faites.

Et pourtant, le manque de reconnaissance est le premier reproche fait aux managers par la majorité de salariés. Ils disent souvent : « tant qu’on ne nous dit rien, c’est que ça va. C’est seulement quand on a des choses à nous reprocher qu’on nous parle… »

Alors où est l’erreur ?

Lire la suite de cette entrée »

PARLEZ MOINS DE…     PARLEZ PLUS DE…

Défauts                                           Qualités

Reproches                                     Félicitations

Passé                                               Futur

Ce qu’on n’a pas fait                  Ce qu’on va faire

Pourquoi on n’a pas fait          Comment on va faire

Lire la suite de cette entrée »

« La présence de salariés motivés ne garantit pas systématiquement la performance.

En revanche, l’absence de motivation garantit à coup sûr une faible performance à long terme. »

Research Management

Et vous, qu’en pensez-vous ?
Vous pouvez réagir en cliquant sur « Laisser un commentaire »

Stock.chng_optical_page__2Quel est le point commun entre l’usine automobile, la crèche israélienne, l’hôpital new-yorkais, la charcuterie italienne, la privatisation des prisons ou la gouvernance de la recherche ?
Tous sont pilotés par des indicateurs et des incitations qui ont tourné en fiascos, analysés dans ce réjouissant livre de Maya Beauvallet : « Les stratégies absurdes, comment faire pire en croyant faire mieux » (Seuil)

On apprend ainsi que la privatisation des prisons américaines est encadrée par une liste de 464 standards, tous dûment notés par une agence. Ce qui n’empêche pas d’y trouver dix fois plus de blessés…

Dans notre monde moderne, il s’agit de plus en plus « d’encourager les individus à adopter tel ou tel comportement en jouant sur leur intérêt bien compris. Le mécanisme le plus élémentaire repose sur la récompense ou la pénalité : si vous faites ceci, vous gagnerez cela ; si vous ne faites pas ceci, vous n’aurez pas cela. »

Cette pratique repose sur le postulat d’un individu rationnel cherchant à optimiser son intérêt… Mais hélas, bien souvent, elle ne fonctionne pas.
Lire la suite de cette entrée »

À l’occasion d’une intervention en entreprise, j’ai trouvé ce texte affiché sur une porte.
Je l’ai trouvé amusant et très juste.
En effet, en matière de management, la capacité d’auto-management d’une équipe est une dimension à cultiver…
Qu’en pensez-vous ?

Il était une fois 4 personnes qui s’appelaient «Tout le monde», «Quelqu’un», «Chacun» et «Personne».

Il y avait un important travail à faire et on demanda à «Tout le monde» de le faire.

Mais comme «Tout le monde» pensait que «Quelqu’un» le ferait , c’est «Personne» qui le fit.

«Quelqu’un» se fâcha parce que c’était le travail de «Tout le monde et qu’il n’était pas fait.

En fin de compte, «Tout le monde» fut mécontent et «Chacun» renvoya la faute sur «Quelqu’un» parce que «Personne» n’avait fait ce que «Chacun» aurait pu faire.

Moralité : il faut dire «Moi, je le fais»

Est-ce que cet article vous parle ?
Qu’allez-vous en faire ?
Vous pouvez réagir en cliquant sur « Laisser un commentaire »

Près de 80 % des dirigeants de petites structures considèrent que leur entreprise est touchée par la crise. C’est ce qui ressort d’une étude menée par le cabinet de recrutement Opteaman et le Medef, auprès de 1430 PDG et managers de PME.

Lorsqu’on leur demande s’ils ont modifié leurs comportements vis-à-vis de leurs salariés depuis le début de la crise, 51 % déclarent n’avoir rien changé.

Parmi les autres, une grande majorité déclare avoir adopté un management «constructif», encourageant les collaborateurs à se montrer plus créatifs et à jouer « plus collectif » (49 %).

D’autres, plus négatifs, ont alerté leurs collaborateurs sur un danger éventuel pour leurs conditions de travail, voire leur emploi (21 %). Sachant que la crise entraîne chez les collaborateurs du pessimisme (36 %), un manque d’entrain (25 %), le dénigrement de l’entreprise (14 %), opter pour un management négatif n’est peut-être pas la meilleure idée.

Comme ils le suggèrent eux-mêmes en répondant à la question : « En cas de crise aiguë, quelles seraient vos actions prioritaires ? », les managers doivent « veiller à la motivation de leurs collaborateurs et susciter leur implication » (31 %) et « communiquer en interne sur la vision de l’entreprise et le positionnement de ses dirigeants face à la crise » (30 %).

À méditer et à mettre en application dans votre propre entreprise…

Source : Action Commerciale

Cet article vous parait-il pertinent ?
Comment pratiquez-vous le management constructif  ?
Vous pouvez réagir en cliquant sur « Laisser un commentaire »